Aurèle a participé à la COP28 aux Émirats Arabes Unis du 30 novembre au 12 décembre 2023 !
Il nous raconte !
C’est quoi cet événement ?
Chaque fin d’année, l’acronyme COP s’incruste dans nos vies durant 2-3 semaines. Ces 3 lettres signifient la Conférences des Partis organisée chaque année par l’UNFCCC, une organisation des Nations Unies. Chaque édition, près de 200 états prennent part à cet événement d’ampleur pour définir un cadre commun permettant de limiter les conséquences du réchauffement climatique.
C’est le moment de l’année où toutes les organisations, les secteurs économiques, concernés par le réchauffement climatique, se rencontrent. Chaque partie prenante à pour objectif l’atténuation des effets du réchauffement climatique et/ou l’adaptation à ceux-ci, tout en respectant les droits humains et des enfants.
Vous avez fait quoi ?
Avant de venir à la COP 28, j’avais 4 réunions programmées avec des décideurs belges (Mme Vande Straeten, Mme Khattabi et M. Henri). Une fois arrivée sur place, nous avons réussi à décrocher une rencontre avec le Premier Ministre, M. de Croo. A cela s’ajoutent une série d’événements formateurs sur différentes thématiques, tant d’opportunités pour rencontrer d’autres jeunes et des personnes inspirantes pour la continuité de nos travaux. Par ailleurs, nous avons suivi de près l’évolution des textes pour s’assurer que leur niveau d’ambition souhaité soit respecté.
Comment c’était ?
Tout au long de cette COP 28, j’ai observé les dynamiques et stratégies mises en œuvre par la délégation belge. La COP 28 est le miroir de la complexité de nos sociétés. Chaque pays, chaque organisation souhaite faire entendre sa voix et ainsi influencer les décideurs dans un sens ou dans un autre. J’ai découvert une multitude de projets engagés menés par des jeunes, provenant du monde entier, qui aspirent à un monde meilleur.
Une anecdote drôle ? Et niveau ambiance ?
J’ai participé à un panel, organisé par l’Institut Francophone du développement durable, qui portrait sur les entrepreneurs verts du monde francophone. Au-delà des échanges passionnants avec les jeunes de pays africains, le modérateur de l’événement n’était ni plus ni moins Salif Traoré, un des chanteurs de Magic System. Salif maîtrisait un ensemble de concepts liés à l’environnement et l’économie responsable. Cette après-midi fut grande en surprises et riche en expérience. L’ambiance sur le site a été extrêmement cordiale durant les 2 semaines de l’événement. Quant à l’atmosphère régnante au sein de la délégation belge, elle fut extraordinaire.